30.8.08

Peau neuve

Bon, on va essayer quelques jours ce look-là (pas mal a priori, mais ça manque d'espace...)


Du coup, j'essaie quelques techniques non textuelles, comme cette photo du cadavre d'un poisson-banane trouvé près d'un lac,




ou encore celle-ci, après que je l'ai emmené avec moi pour lui redonner des couleurs (mais ça n'a pas marché),

















.... et une vidéo, ça donnerait quoi ?





à bientôt pour d'autres gadgets...

Ah, et puis aussi : il paraît que LoFi s'est réveillé.

29.8.08

Tiens

It was a time for not thinking
Entre la ciel et le vague ;
Puisqu'il ne servirait à rien de se vouloir de marbre
Nous respirions sans rien attendre
Immobilis in mobile
Cois, secoués, alanguis
A l'ancre des mots de nos aimés



Sinon, vous, ça flotte ?

Info : une très belle affiche vous attend ici.

27.8.08

Tirer à la ligne

La cigale ayant chanté tout l'été
Se dit, aux abords de septembre,
Qu'elle avait bien aimé ça.

Alors, elle continua.



Cri, cri, cri.
En plus, cette grosse feignasse, elle montait ses chansons, corrigeait les épreuves de son recueil de nouvelles, s'exerçait à peindre, pensait aux lecteurs de son blog, travaillait à une pièce en collaboration avec une somptueuse écrivaine au charme si prenant qu'elle (la cigale, vi vi vi) envisageait de plus en plus de partager un terrier avec elle.
Et tout ça comme Michel Sardou.
En chantant.


Rhaaaaâ non, pas Michel Sardou...


26.8.08

Rentrée littéraire

Il faudrait que je devrais qu'on va bientôt et surtout ne pas oublier que je pense à...

Mais l'été n'a pas dit peut-être son dernier mot,
(et la mer, où est-elle?)
Les amis de mes amis sont aussi beaux que mes amis,
Je tombe amoureux deux ou trois fois par jour (et presque toujours de la même elle),

Et le matin je me promets que demain, demain,
Je commence à arrêter.



Cri, cri, cri, fait la cigale.




Une toute spéciale bise à la mystérieuse lectrice du Nord Est et à ceux que le taf a repris.

23.8.08

Hé, y'a quelqu'un ?

P'tain, mais quoi ils font, ces auteurs ?

Oh, la maison ?

Bin quoi, elles sont où les nouvelles ?

Tu bosses, feignasse, ou tu fais la cigale quelque part au creux de l'été ?




...

10.8.08

An history of us

Ton amour,
Mon amour,
Notre amour nébuleuse

nos chemins nos passés nos rêves et nos vies
les coeurs qui s'entrecroisent et se fuient à merveille
la peur,
le reste,
le péché -

paix, joie, amour, connaissance
(oh les mots que j'ai honte et pourtant grâce à toi)

exploser
jouer
vieillir
croire
(car savoir les jours gris a un goût d'illusion)

alors attendre
et savoir à nouveau

mon amour ton amour notre amour nébuleuse
les courbes de nos vies et les traits de nos jours

le moment qui nous fuit et l'instant qui nous guette
rester là pour le dire
et avancer d'un pas
(immobile bien sûr - mais mûr, mais certitude)

et nous voilà nous.


Sinon, nous avons testé pour la première fois la confection de farçous aveyronnais - ce qui nourrit davantage son homme que la poésie, dit-on de source sûre.

9.8.08

888 (ah non c'était hier)

It's about time,
Shall I ?

(Il se demande parfois à qui il parle - sybillin même pour lui-même)

Un rêve m'obstrue le monde
Le vent d'ouest pourtant
Me parle d'aventures
Que je ne vivrai plus

Sans me remettre à croire

(le rêve parlait d'une maison trop imposante où je n'étais plus chez moi -
un livre m'attendait - que j'avais du mal à comprendre)

Et ce fut le matin.

8.8.08

Au boulot

Pour te satisfaire, dernière et ultime lectrice perdue dans le Nord-Est (il y a donc encore des gens qui habitent ailleurs que dans le Sud-Ouest ? quelle étrange idée), je reprends ce clavier.

Oui, mais pour dire quoi ? Ma vie en ce moment est tout sauf fascinante : aucun éditeur ne m'appelle (coucou, DNSB, OSLE, mais non je ne parle pas de vous), le soleil a déserté notre village et la neige - ah non pas encore - et, surtout, surtout, je suis plongé dans un taf très fastidieux, conseillé par l'aimable Gomez :

ne

rien

faire.

RRrrrrahhahaha comment c'est dur de lutter contre mes tendances hyperactives... Mais je m'y efforce.

Ecrire ? Hors de question. Lire ? Bon, peut-être un peu - attention, au-delà de 300 pages par jour, c'est trop. Peindre ? A peine un ou deux trucs par jour, et encore ; quant à la musique, ça fait au moins trois nuits que je n'ai pas vu la queue d'un ukulélé.

Je m'oblige à glander. Faire quelques keumeus à vélo avec Anton et Zadig, pousser jusqu'au bourg pour le marché... mais jamais plus. Quelle horreur, on dirait des vacances !

Et non, je ne pense pas aux deux bouquins qu'on m'a commandé, ni à ce début de roman qui n'arrête pas de tourner dans ma tête, ni à la suite de Sphinx, ce scénar-bédé-truc que j'aurai sans doute le plaisir de vous présenter à la rentrée.

Vacances, vous dis-je.

C'est du boulot.

7.8.08

ah bin là oui alors oui

... juste un passage en vitesse pour dire que mon copain George Flipo écrit ici un article avec lequel ma foi je ne puis qu'être d'accord, et que du coup je vous le pointe, au cas où vous passeriez par là en cette période estivale propice au débranchement cérébral...
Et les vidéos fonctionnent à merveille.